How Early Intervention can Make a Difference: Research and Trends (ASL et anglais Seulement)Dr. Beth Benedict - Professor at Gallaudet University
The Laurent Clerc National Deaf Education Center presents :
Can early intervention really make a difference? Join Dr. Beth Benedict for a webinar on what research is telling us about the importance of early intervention. She will share ways in which the field is evolving and explain what professionals in the field can do to make a difference in areas related to: •Visual language and learning English language performance •Social-emotional, cognition, and communication development •Family involvement and deaf role models •Setting high expectations |
Dr. Beth Benedict est professeure au département de communications de l’Université Gallaudet. Elle est également présidente de la American Society for Deaf Children (www.deafchildren.org).
La recherche démontre clairement l’importance de l’intervention précoce. Les familles qui apprennent que leur enfant est sourd sont unies par un lien unique, parce que le diagnostic est très souvent inattendu. L’impact de ce diagnostic est inconnu. Les opportunités et le potentiel de l’enfant sont inconnus. L’éducation et les moyens de communication sont inconnus. Les ressources sont inconnues. La lutte avec la communication et la technologie est inconnue.
Sans appui, les parents font face à beaucoup de stress. La recherche démontre que le niveau d’implication des familles est fortement relié à la réussite scolaire de l’enfant.
Les enfants sourds qui ont des parents sourds ont une plus grande réussite scolaire que les enfants sourds qui ont des parents entendants. Ceci s’explique par le fait que l’âge critique pour l’acquisition d’une langue est de 0 à 3 ans. La parole est en fait une habileté, qui est apprise plus tard. La langue des signes québécoise (LSQ) est une langue complète tandis que l’implant cochléaire n’est en fait qu’un outil technique de communication.
Une langue visuelle réduit le risque de la privation de la langue sans risque pour l’acquisition d'autres langues. La recherche démontre clairement l’importance de l’intervention précoce, et l’importance de la langue dans le développement de l’enfant. Même avec une perte auditive légère, ou même sans perte auditive, la langue des signes peut être extrêmement bénéfique. La question d’utiliser ou non la langue des signes devrait se faire en connaissant ce que la recherche démontre.
Imaginez un monde où la langue des signes québécoise devient plus utilisée, plus connue. On ouvrirait ainsi les portes de la communication à bon nombres d’enfants.
La recherche démontre clairement l’importance de l’intervention précoce. Les familles qui apprennent que leur enfant est sourd sont unies par un lien unique, parce que le diagnostic est très souvent inattendu. L’impact de ce diagnostic est inconnu. Les opportunités et le potentiel de l’enfant sont inconnus. L’éducation et les moyens de communication sont inconnus. Les ressources sont inconnues. La lutte avec la communication et la technologie est inconnue.
Sans appui, les parents font face à beaucoup de stress. La recherche démontre que le niveau d’implication des familles est fortement relié à la réussite scolaire de l’enfant.
Les enfants sourds qui ont des parents sourds ont une plus grande réussite scolaire que les enfants sourds qui ont des parents entendants. Ceci s’explique par le fait que l’âge critique pour l’acquisition d’une langue est de 0 à 3 ans. La parole est en fait une habileté, qui est apprise plus tard. La langue des signes québécoise (LSQ) est une langue complète tandis que l’implant cochléaire n’est en fait qu’un outil technique de communication.
Une langue visuelle réduit le risque de la privation de la langue sans risque pour l’acquisition d'autres langues. La recherche démontre clairement l’importance de l’intervention précoce, et l’importance de la langue dans le développement de l’enfant. Même avec une perte auditive légère, ou même sans perte auditive, la langue des signes peut être extrêmement bénéfique. La question d’utiliser ou non la langue des signes devrait se faire en connaissant ce que la recherche démontre.
Imaginez un monde où la langue des signes québécoise devient plus utilisée, plus connue. On ouvrirait ainsi les portes de la communication à bon nombres d’enfants.